Du 2 au 6 Novembre 2022, la Paris Games Week fit son retour suite à deux annulations successives en 2020 et 2021. Voici mon gros compte-rendu de cette édition « Restart » que j’aurais faite durant la soirée Presse du Mardi 1er Novembre, le Vendredi après-midi, et la journée de Dimanche.
Retour en arrière
Je vais y aller franco. Pour moi cette Paris Games Week 2022 fut la plus décevante depuis que ce salon existe. Et ce pour une multitude de raisons.
La principale raison étant la régression en termes de disposition des lieux. Avec un seul Hall au lieu de trois auparavant. J’ignore le pourquoi de ce choix, mais je trouve ça étonnant alors que les salons ont repris depuis un bon moment déjà. Comme Japan Expo 2022 qui avait certes un peu moins de stands et d’invités que les éditions passées, mais a conservé tous ses Halls habituels.
En plus de ça, le Hall 2.2 qui accueillait autrefois la zone assez tranquille de PGW Junior, était réservé exclusivement à la Game Connection Europe 2022 du 3 au 4 Novembre. Un tout qui a réduit la superficie presque de moitié. Dit avec des chiffres, on est passé de 80.000m² à 48.000m². C’est à peu de choses près la même taille qu’en 2015 avant que le salon ne s’agrandisse.
J’appréhendais le fait que cette édition serait difficile à vivre vu que tout a été entassé au même endroit. Finalement ce fut moins pire que je ne l’imaginais. On peut remercier les allées qui ont gagné en largeur et rendant la circulation plus fluide malgré le monde présent durant un week-end annoncé complet à la surprise de tous (et surtout des retardataires). Les billets du Samedi étaient sold-out le 31 Octobre, et ceux de Dimanche le 5 Novembre.
Chose qui n’était jamais arrivée avant, mais qui est logique quand on connaît l’affluence des éditions passées. L’unique Hall 1 n’aurait jamais pu contenir les 317k visiteurs de 2019. C’est probablement la raison pour laquelle la PGW a dû instaurer un système de jauge pour les jours de plus forte affluence. Et c’est probablement aussi pour ça qu’ils ont complètement revu leur système d’accréditation afin que le moins de monde possible puisse en bénéficier.
En gros, même le fait d’avoir déjà été accrédité ou invité par le passé ne suffit plus. Cette fois-ci, il fallait soit avoir son propre média (blog, presse, TV, radio) traitant de JV, soit avoir des contacts avec les stands présents pour qu’ils fournissent les invitations. On le voit très bien sur la capture que même en tant que créateur de contenu / influenceur, il n’était pas possible de faire sa demande en ligne.
Une décision qui aura beaucoup divisé, n’avantageait en rien les petits et moyens créateurs, et coupant l’herbe sous le pied de beaucoup de personnes qui prévoyaient de venir. Dont des habitués. Moi-même ça m’avait mis dans l’embarras car n’ayant pas de contacts privilégiés à ce moment précis, je ne pouvais compter que sur l’obtention de mon accred pour venir à cette soirée à laquelle je tiens. D’autant plus que j’ai eu la confirmation au dernier moment le Vendredi avant la semaine de PGW..
Au final, ce sont près de 150k visiteurs qui auront arpentés le salon en 2022. Ce qui est dans le même ordre de grandeur que la toute première édition en 2010 et celle de 2011 où c’était respectivement 120k et 180k visiteurs.
Fatalement, le nombre de stands et d’exposants a été fortement réduit. Bien que les principaux constructeurs tels que Nintendo, PlayStation et Xbox pour ne citer qu’eux, aient répondus présents (ce qui n’était pas le cas à la Gamescom 2022 pour les deux premiers cités), leurs espaces étaient nettement moins attrayants. Pas énormément de jeux testables en leur sein, et des rares dont la sortie n’était pas imminente ou déjà effective au moment où le salon avait lieu. Parmi ceux annoncés pour 2023 qui étaient sur place, j’ai repéré Like a Dragon: Ishin, Park Beyond, One Piece Odyssey, Wo Long: Fallen Dynasty.
Et l’un des seuls jeux auxquels j’aurais joué de tout le salon Forspoken. J’en reparlerai lors d’un article Preview dédié.
Cela explique probablement l’absence de certaines licences annuelles comme Pokémon dont les opus Écarlate et Violet sortent la semaine prochaine. Et d’autres jeux qui auraient certainement faits sensation comme Callisto Protocol (02/12/2022), son homologue Dead Space Remake (27/01/2023), Hogwarts Legacy (10/02/2023), et Resident Evil 4 Remake (24/02/2023).
Même le fameux stand de Call of Duty s’est fait petit cette année. Lui qui attirait plus de monde que de raison les fois d’avant. Cette fois il s’est planqué au sein du stand de RoG avec 5 bornes de disponibles pour le nouveau Modern Warfare II.
Constat similaire pour les activités à faire hors JV qui furent moins nombreuses. Qu’il s’agisse d’abord de photocalls comme ceux que j’ai pu faire au stand de Street Fighter 6, et un autre chez Nintendo que vous verrez plus bas.
Et d’autres attractions plus originales comme le « Squat like Zack challenge » sur le stand de Crisis Core : Final Fantasy VII Reunion (13/12/2022) chez Square Enix. Où certaines personnalités comme @Kayane et l’artiste @Pikanoa ont explosé les scores.
Celui qui aura tout raflé n’est nul autre que Fnac. Un des principaux partenaires de cette PGW qui s’est associé avec PlayStation en investissant une bonne partie du salon, et la scène principale. À ce train-là, il faudra rebaptiser les prochaines éditions en « Fnac Games Week ». Ça serait dans la continuité de l’ancêtre du salon qu’était le Micromania Games Show.
En tout cas, j’aurais battu un record personnel. Le temps que j’aurais mis pour en faire le tour qui était inférieur à une demi-journée. Et par « faire le tour », je ne parle pas de tout tester ou tout faire. C’est quasi impossible même en 5 jours à cause du temps d’attente variable pour chaque activité. Je parle bien d’un tour des stands et de ce qu’il y avait à voir d’intéressant. D’ailleurs parlons-en.
Nintendo
À l’ouest, rien de nouveau chez Nintendo puisque l’intégralité des jeux Switch présents chez eux étaient déjà en rayons ou venaient de l’être. Et ce, sans compter les inévitables jeux à tournois tels que Smash Ultimate et Mario Kart 8 Deluxe qu’on se coltine depuis 4-5 ans maintenant. Ainsi que Mario Strikers Battle League Football et Splatoon 3 qui ont débarqué cette année.
Ceci dit, l’ambiance est toujours aussi survoltée près de la scène principale. Avec un public bouillant comme d’habitude, et les animateurs de la team Au Delà du Virtuel qui se démènent toujours autant pour faire vivre ce genre de moments.
Le jeu le plus récent du stand était Bayonetta 3 que j’avais déjà acheté, et sorti une semaine avant PGW.
D’autres étaient testables comme Monster Hunter Rise Sunbreak, Xenoblade Chronicles 3, et Nintendo Switch Sports.
Mais l’attraction phare du stand fut l’immense Bowser en LEGO (et légèrement articulé des bras et la tête), que j’avais déjà aperçu à la Gamescom 2022. Mais ce ne sont pas ses 4,3 mètres au garrot, ses 4 tonnes, et ses 663.000 briques qui allaient m’impressionner.
Playstation
C’était un peu triste chez Sony cette année. Historiquement l’un des constructeurs qui prenait le plus de place à PGW, voilà qu’il s’est retrouvé à fusionner avec Capcom, Square Enix, et Fnac. Ce qui a très fortement réduit le nombre de jeux purement PlayStation de la marque. Sans compter la disparition totale de l’espace PSVR. Alors que la date de sortie et le prix du nouveau modèle pour la PS5 (le 22/02/2023 pour 599,99€), ont été dévoilés la semaine même de PGW.
Il n’y avait pas grand-chose à y faire à part tester hors abonnement le catalogue issu du nouveau PlayStation Plus avec les offres Essential, Extra et Premium.
Ceci dit, il y avait des choses sympas à voir. Comme ce Galop-Griffe de Horizon Forbidden West un chouia menaçant que j’avais déjà aperçu à la gare de Paris St Lazare en Février pour fêter la sortie du jeu.
Et le seul véritable intérêt de la zone, un magnifique décor du fraîchement sorti God of War Ragnarök. Mais à défaut de pouvoir y jouer, on pouvait se faire maquiller le visage comme Kratos (ce que je n’ai pas fait) et avoir son prénom écrit en Runique (que vous verrez dans mon pactole final).
Et au bout d’une heure d’attente, j’ai pu me prendre en photo avec de très convaincants cosplays de Kratos et Atreus.
Xbox
La zone Xbox était sûrement celle qui avait le plus de jeux en son sein. Certes pas beaucoup de nouveautés non plus, pas plus grande qu’avant mais davantage qu’à la Gamescom 2022, et quelques titres que j’avais déjà pu essayer au salon du JV allemand.
Les titres en question étant Planet of Lana et The Last Case of Benedict Fox prévus pour 2023 et dont j’ai déjà parlé ici. Pour le reste, il y avait Two Point Campus, Roboquest, Persona 5 Royal, Pentiment, Gunfire Reborn, et sûrement d’autres que j’oublie.
Dans une box à l’intérieur du stand, d’autres titres que je connaissais déjà comme Lies of P et A Plague Tale Requiem. Mais aussi Wo Long qu’on retrouve ici, ainsi que Death Stranding et Deathloop qui ont intégré le Gamepass cette année.
Décidément les briques ont la côte. Après Bowser chez Nintendo, voici une Xbox Series S faite entièrement de LEGO. J’ignore de combien de briques elle est constituée, mais ça serait la plus grande console en LEGO jamais fabriqué selon les dires d’Xbox. Et je veux bien le croire avec ses 2,75 m de haut.
Pour célébrer les 40 ans de la licence Flight Simulator, le stand avait installé le setup originel (mais non jouable) du tout premier jeu avec le PC IBM 5150 qui le faisait tourner. Ça a dû raviver des souvenirs au gamers les plus âgés.
Ubisoft
On aura connu beaucoup plus de jeux testables chez Ubi par le passé. Et il ne fallait pas compter sur la présence de Roller Champions qui est loin d’avoir la côte en ce moment.
Un jeu qui aurait parfaitement sa place au stand voisin de chez Nintendo, le déjà sorti Mario + Lapins Crétins : Sparks of Hope avec Statue de Lapin Mario.
Le futur Just Dance avec @thefairydina qui a enflammé la scène comme à son habitude.
Une activité qui aura rameuté beaucoup de monde pour pas grand-chose, l’Exposition Immersive Assassin’s Creed. Une sorte d’Escape Game au décor très minimaliste qui exposait en vitrine des objets emblématiques des jeux de la saga. Et pour être honnête, ça ne valait pas la hype que ça a suscité même si je salue la démarche et l’hommage. Heureusement que j’ai pu le faire assez rapidement durant la soirée Presse car si j’avais attendu plus de 2h pour seulement 15 min de réflexion, je l’aurais eu très mauvaise.
Histoire de rester dans le thème des longues files d’attente dont je ne comprends pas l’intérêt, le cas de Skull and Bones (09/03/2023). Je n’ai jamais compris pourquoi les gens attendent aussi longtemps pour mater une simple vidéo de présentation. Je trouve que c’est une perte de temps monumentale, surtout pour un jeu qui a déjà eu des phases de bêta test avant le salon.
Et juste à côté, de superbes Case Mods de PC par Vadu Amka dans le thème du jeu.
EVA (Esports Virtual Arenas)
L’attraction phare du salon n’est pas vraiment une nouveauté non plus puisqu’il s’agissait de la zone EVA avec ses 500m² dédiés à l’esport et la Réalité Virtuelle. Déjà présente en 2019 mais que je n’ai pas pu faire à cause du monde présent cette année-là, j’ai pris ma revanche 3 ans plus tard en y allant à l’ouverture le Dimanche et rejoindre des amis déjà bien avancés dans la file. Ce qui ne m’aura pas empêché d’attendre plus de 2h30 avant d’en voir le bout.
Après un briefing en salle close nous expliquant l’objectif de la partie, les commandes, et l’aspect sécurité, nous voilà lâchés dans l’arène avec le HTC Vive vissé sur la tête, un casque audio, et notre arme. Ce qui m’amène à dire que la technologie VR a bien progressé ces trois dernières années. Puisque dans la première version d’EVA, les joueurs devaient se trimballer un sac à dos contenant le matériel informatique nécessaire pour faire tourner le jeu. En termes de mobilité on a vu mieux. Aujourd’hui ce n’est plus un problème car tout a été miniaturisé dans le casque VR.
Chaque partie se joue en 4v4 et dure 5 min au sein d’une arène virtuelle constituée de dédales (qu’on ne doit pas traverser sous peine de mourir instantanément) qui mènent à une zone centrale où se trouve le point à capturer. La première équipe à atteindre les 100% de capture, ou qui aura le pourcentage le plus haut à la fin du temps imparti, gagnera la manche. L’objectif n’est donc pas de scorer, mais de travailler en équipe pour défendre le point du mieux que possible.
Sincèrement, c’était l’une des meilleures expériences que j’ai pu faire à une Paris Games Week. Pour de la VR le jeu est loin d’être vilain visuellement. C’est pas trop compliqué à prendre en main d’autant plus qu’il y a assez peu de boutons à utiliser. Et surtout l’immersion est absolue. À refaire très certainement d’autant plus que pas mal de salles ont ouvertes en France, en outre-mer, et bientôt même aux USA.
Made in France
Le stand de la French Touch vidéoludique n’était peut-être pas gigantesque cette année, mais il était plein à craquer.
De nombreuses petites et moyennes productions de tous genres étaient présentes comme Mahokenshi qui avait un sympathique décor, Noara, Endless Dungeon, Decarnation, Have a Nice Death, Dordogne, Asterix & Obelix XXXL : Le Bélier d’Hibernie, Arkanoid – Eternal Battle, et bien sûr A Plague Tale Requiem représenté par des cosplays dont on va parler de suite.
Cosplays
Bien que la PGW ne soit pas la convention où les cosplays sont les plus nombreux et les plus variés, certains en valaient le détour. D’autant plus que Imagin’ Con et La Ligue des Cosplayers Extraordinaires, avaient leur propre stand avec un espace photos, des ateliers d’organisés, et des cosplays d’exposés que voici.
Pyramid Head : @ladyjinxcosplay
Aloy n°1 : Lily & Shinosan Cosplay – Vanessa VanCleef : @osanguine_cos
Viennent ensuite celles et ceux que j’ai croisés dans les années et autres stands.
Aloy n°2 : @lescostumesdelou – Amicia : @illyne_cosplay & @blue_colette
Master Chief : @archonos_cosplay – Gungrave Gore : &
Soeurs Dimitrescu : @lauramona_flowers & @sikay_cosplay & @mancy.inspi – Fallout : @dragunova_cos
Et enfin le Dimanche sur la scène Xbox, s’est tenu le concours cosplay de la CFC qui aura vu défiler huit participants et participantes. Le show était sympathique sans être incroyable, et j’ai beaucoup apprécié la présence d’interprètes en langage des signes. En revanche, j’aurais préféré un autre endroit que cette scène à l’environnement assez bruyant et où tout le public devait être debout. La scène Fnac aurait été parfaite pour ça car isolée du reste et avec des place assises. Mais il parait qu’elle coutait cher.
La première place a été remporté par @wappysalt qui était en Link Armure Archéonique de Zelda Breath of the Wild, et la seconde place par @eugeniechidlin en Misaki du jeu Mahokenshi qui était jouable chez Made in France.
Pactole
C’était peut-être l’une des plus petites PGW, mais elle aura engendré mon plus gros pactole. Presque tout ce que vous voyez sur la photo je l’ai eu gratuitement soit en réalisant certaines activités, soit de la part d’exposants de chez Fnac et du stand God of War Ragnarök qui offraient gracieusement des goodies le Dimanche avant la fermeture.
Les seuls produits que j’aurais achetés sont ce T-shirt EVA et la casquette offerte, et une batterie externe MANA aux couleurs de One piece.
Quatre posters de Ragnarök. Ma préférée étant celle avec Freya et Baldur.
Mon prénom (Randy) écrit en runique comme dans le jeu.
Trois cartes postales d’Elden Ring de la Fnac.
Un poster recto-verso de Street Fighter 6 que j’ai obtenu après la photo sur le stand.
Un vinyle de Vampire The Masquerade : Swansong offert par Fnac.
Un badge de Mario Kart 8 Deluxe obtenu en participant au tournoi, et un poster de Kirby et le monde oublié donné par Fnac.
Des stickers de MK8, et 100 points platine obtenus en s’enregistrant sur My Nintendo.
Et enfin l’objet qui me permet de faire tout ça et que j’ai eu pour la 4ème édition consécutive, mon accréditation Presse. Merci à PGW pour me l’avoir donné.
Conclusion
C’était ma 11ème PGW, et la première après trois ans de « pause forcée ». Ça m’avait manqué et ça m’a fait un bien fou d’y retourner surtout durant le créneau nocturne où il y a beaucoup moins de monde que la normale. Je ne me lasserai jamais de revoir certaines têtes souvent de manière impromptue, et de faire de nouvelles rencontres qui ne cessent de m’enrichir sur le plan pro et perso.
Mais ce fut une édition où j’y serais allé à reculons. Dès que j’ai eu l’info sur l’unique Hall et les plans du salon, j’ai compris que ça ne serait pas aussi intéressant qu’avant. Et ça n’a pas loupé. Moins de jeux, moins d’activités, moins de décors, moins de beaucoup de choses. À croire que le salon a pris le sigle « Restart » au pied de la lettre puisque c’est une totale remise à zéro dans tous les domaines.
Il y a tout de même des points positifs à en tirer sur le fait qu’il y ait eu moins de monde, c’est qu’il y a eu moins de heurts (du moins j’en ai pas entendu parler) et moins de crasse. Pour un salon qui est malheureusement connu pour avoir ni une bonne réputation, ni une bonne hygiène, j’ai trouvé que cette édition était la plus « calme » et la plus « propre » depuis un bon bout de temps. Même si je déplore le peu de poubelles mis à disposition, surtout près des zones de catering qui en avait clairement le plus besoin.
En revanche, ça n’a rien changé au fait qu’il faille toujours attendre des plombes pour faire quoi que ce soit (entre 30 min et plus de 3h). Dans le passé, j’arrivais à endurer plusieurs files dépassant l’heure dans une journée. Mais plus je prends de l’âge et moins j’ai de patience pour ça. Une des seules grosses files d’attente que j’aurais faite c’était pour le stand EVA le Dimanche et ça m’a suffi.
En espérant que les prochaines éditions seront plus ambitieuses sinon ça ne servira à rien que je me déplace. D’ici là, je souhaite en placer une pour ceux que j’ai croisés, les cosplayers, les animateurs de stands, et tous ceux qui vont vivre du mieux qu’ils le peuvent ce genre d’évènements !
Merci d’avoir pris le temps de lire. Vous pourrez retrouver l’intégralité des photos sur mon album photo Facebook.