[Voyage] États-Unis (7/7) : Universal Orlando et retour à Paris – FIN

Jour 9 – En route vers Universal

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Samedi 7 Mai 2016. Ultime journée passée en Floride, et étape finale avant le départ des USA le lendemain. Un périple qu’on a choisi de conclure en beauté avec la visite du complexe Universal Orlando Resort. Deux parcs à thèmes regroupant une multitude d’univers différents issus de la “Pop Culture”, que sont Universal Studios Florida et celui qu’on aura visité, Universal’s Islands of Adventure.

Avec la voiture louée la veille, il nous aura fallu 4h de route pour effectuer le trajet (plutôt fluide) de Miami vers Orlando. Ça équivaut à peu près à un Paris -> Poitiers (presque 400km). Un état que je n’aurais pas cru si vaste, et dont on n’aura parcouru que la moitiéOn arrivera finalement sur place dans les coups de midi heure locale.

 

Le Parc

On pourrait l’apparenter à nôtre Disney Paris avec d’un côté le coin plus traditionnel avec ses attractions phares, et de l’autre la partie Studios avec des attractions plus modernes et d’intérieur pour la plupart. Sauf qu’au lieu de un, ce ne sont pas moins de 3 univers différents qui sont représentés là-bas. Rien que ça.

D’abord le Marvel District, fidèle à l’esprit des Comics et où on peut y croiser ses Avengers favoris. D’ailleurs, une grande montagne russe était dédiée à Hulk, mais hélas fermée ce jour-là.

Le parc à également reproduit très fidèlement le quartier Pré au Lard et le Château de Poudlard (qu’on a pas pu visiter) tous deux issus de l’univers de Harry Potter. L’homme que je suis et ayant passé une bonne partie de son adolescence avec cette saga à beaucoup apprécié.

Et enfin, le véritable Jurassic Park ! Presque aussi dangereux que dans les films avec des dinosaures presque en chair et presque en os. Des créatures animatroniques pour  être plus précis, et bougeant de manière assez réaliste.

Même le resto où on se sera posé, et nous ayant offert la superbe vue ci-dessous, était dans le thème. Vous vous souvenez du lieu de la scène finale du premier Jurassik Park de 1993 ? Les décors ont été reproduits à la brique près.

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Ce parc en définitive, c’est un rêve de gosse devenu réalité. Le jour où j’en aurai un, je l’emmènerai la bas à coup sûr.

Attractions

Jurassic Park River Adventure

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Prenez le Grand Splash du Parc Astérix. Remixez-le à la sauce Jurassic Park en y ajoutant pleins de dinos dedans, et vous obtiendrez l’attraction Jurassic Park: The Ride. Un parcours aquatique dans une jungle recréant le décor du film, et qui se termine par l’inévitable « chute » du haut de la cascade face à ce bon vieux T-Rex. Ça mouillait pas mal, mais y avait pire…

The Amazing Adventures of Spider-Man

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Attraction dynamique et ultra immersive. Dont sa technologie m’a rappelé celle du Futuroscope à Poitiers que j’ai visité l’année passée. Grâce à des lunettes 3D, on parcourt depuis la voiture, la ville de New York en compagnie de l’homme araignée, tout en évitant les divers obstacles et les antagonistes de Peter Parker se dressant face à lui. Par moments, on avait vraiment l’impression de s’envoler, chuter où même manquer de peu de finir brûlés. C’était grisant.

Dragon’s Challenge

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A 2 pas du château, deux montagnes russes inversées se faisaient face. Elles avaient pour thème les dragons de feu et de glace. D’ailleurs, l’attraction a été conçue de manière à ce que ces dragons s’entrecroisent de temps à autre. C’était assez drôle de frôler de si près, les occupants de l’autre parcours. Pour ma part, j’ai trouvé ça sympa mais très court. Pour le moment ma montagne russe préférée reste toujours l’Oziris du Parc Astérix.

Poseidon’s Fury

Au sein du continent perdu, dessiné par de nombreuses ruines ayant pour thème la mythologie grecque, s’y trouvait l’ancien temple du Dieu des mers Poséidon. Au programme, une bataille épique entre dieux sous un déluge d’effets aquatiques et pyrotechniques. Le tout saupoudré d’une touche d’humour que l’on doit aux showmans.

Dudley Do-Right’s Ripsaw Falls

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Et enfin le dernier lieu visité du parc, Toon Lagoon. Où on peut y croiser de célèbres personnages issus des Comics Strips tels que Betty Boop et Popeye pour ne citer qu’eux. Le paradis des attractions qui « mouillent ». Avec notamment celle qu’on a testée en tout dernier qui est une rivière rapide se terminant par une chute (celle que vous voyez au fond de la photo au dessus) aussi vertigineuse qu’humide.

Un superbe Parc, qui n’a rien de comparable aux nôtres, rien que par les moyens mis en œuvre. Puis c’est aussi ça les USA. Champions du monde de la démesure. 😉

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Jour 10 – Retour

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Le soir même, et complètement épuisés, on s’est préparés à quitter le sol américain en passant par un Aéroport International d’Orlando plutôt classe. Après y avoir dégusté le premier et dernier McDo du voyage, 7h de vol (comprenez par-là 7h de sommeil) nous ont attendu au sein de la meilleure compagnie aérienne qu’on aura testé. La Norwegian Airlines. Pour faire simple, c’est ce que j’appellerais un Icelandair de luxe (cf. 1er article). Bye bye America !

Retour sur le continent européen à 11h20 à l’aéroport de Gatwick en Grande Bretagne. Escale finale avant l’atterrissage en France. Vous vous souvenez quand je mentionnais dans le précédent article que les 3h30 de retard de notre vol Newark – Miami ne serait pas le dernier ? Eh bien nous y sommes.

Easyjet, une compagnie aérienne Britannique low cost avec qui j’ai déjà eu l’occasion de voler auparavant, et sans soucis jusqu’ici, a fait preuve ce jour-là d’un cruel manque de professionnalisme. Sans l’ombre d’une explication de la part du personnel, le vol en direction de Roissy aura été retardé de 1h30. Décidément, vive les escales hein…

Finalement, notre aventure prend fin à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle dans les coups de 18h. Ce fut un des voyages les plus marquants de mon existence.

Conclusion

J’aurais passé une incroyable semaine en compagnie de ma grande sœur et mon beau-frère, que je remercie chaleureusement.  J’ai pu découvrir un pays dont je rêvais de fouler le sol depuis tout petit, et je ne pouvais pas ne pas vous raconter ce que j’avais vécu là-bas. J’y retournerai, ça c’est certain.

Merci de m’avoir lu 👍

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[Voyage] États-Unis (6/7) : Welcome To Miami !

Vue de l’appart-hôtel depuis la station de métro la plus proche

Jour 6

Mercredi 4 Mai, nous quittions la tête pleine de souvenirs (nos valises aussi) notre appart-hôtel du Queens direction l’Aéroport international de Newark-Liberty. Sauf qu’on était loin de s’imaginer qu’une très mauvaise surprise nous attendrait là-bas.

Alors que nous étions assis dans l’avion JetBlue Airways à 2 doigts de décoller, voilà que les stewards demandent subitement à tous les passagers à bord de le quitter pour regagner le hall d’attente. La raison étant que de violentes intempéries ravageaient couloir aérien. Sécurité oblige, interdiction de décoller jusqu’à  nouvel ordre.

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Conséquence, notre vol en direction de l’Aéroport international de Fort Lauderdale-Hollywood en Floride près de Miami, a subi un retard. Encore un. Notre 2ème en même pas 3 vols. Et le pire c’est que ça ne sera pas le dernier, mais ça aura certainement été le pire de tous.  J’aurais passé les 3h30 les plus longues de mon existence…

Mais dans un sens, je m’estime heureux car il aurait pu être annulé. Ce qui aurait fortement compromis notre arrivée à l’appart .

Heureusement que pour m’occuper un peu, j’avais ma 3DS avec The Legend of Zelda: A Link Between Worlds. Et fallait certainement pas compter sur le Wifi de l’aéroport pour surfer ou contacter des proches. Car il a eu “l’excellente” idée d’être à durée limitée. Contrairement à quoi, 99% des aéroports existants…?

Le calme avant la petite tempête..

Le calme avant la petite tempête..

Finalement, on a tous embarqué pour un vol de plus de 3h direction la pointe Sud de l’état de la Floride. Vol qui n’a pas manqué de turbulences malgré les précautions prises en amont. Comme quoi ça aurait pu être bien pire si on était partis plus tôt.

les derniers bagages à l’Aéroport de Fort Lauderdale

21h heure locale, nous sommes finalement parvenus à atterrir, mais sous une pluie diluvienne et à 25°C…Décidément, entre la brume New-Yorkaise, et l’atmosphère lourde et humide de la Floride, le climat n’aura pas été notre meilleur allié sur le continent américain. 

Sur place, on choppa un Uber qui ne mettra que quelques minutes à arriver, et qui nous déposera enfin à l’appart (toujours sous la pluie) dans la soirée. Ce fut le voyage en avion le plus pénible de toute mon existence…

Jour 7

😎

Welcome to Miami ! Comme dirait ce bon vieux Will. Sauf que dans notre cas, c’était South Beach. Un quartier à l’est du centre-ville et donnant directement sur l’atlantique. Fini les gratte-ciel anormalement hauts et trop nombreux pour être répertoriés. Place aux villas, hôtels et voitures de luxe ou autres signes de richesse (trop) évidents.

Les fanas de caisses seront aux anges là-bas. Presque tout le monde là-bas roule dans des bolides considérés en France comme “luxueuses” (Porsche, Chevrolet, Buggati, Cadillac et j’en passe…). 

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Y avait aussi quelques modèles plus extravagants comme celle que j’ai baptisé de mini « Batmobile ». Et une voiture de flic toute droite sortie de la saga Need For speed.

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Mais ce qu’il était bon de se trouver dans une atmosphère de vacances d’été au mois de Mai-Juin. Surtout quand on habite Paris et qu’on revient tout juste de New York. Qui ne nous ont pas gâtés avec leur climat,  eux…

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Palmiers, Soleil qui tape à fond, immense plage de sable blanc avec une mer bleu turquoise, bonne et quasi transparente. Personnellement, j’ai fait la Normandie, l’Aquitaine et la région PACA en France, et selon-moi aucune de leur plages n’arrivaient à la cheville de celles de Miami dans ces critères.

L’eau était tellement claire qu’on pouvait observer à l’œil nu un banc de poissons (impossible à attraper) nageant autour de nous. Mer qui était archi propre d’ailleurs. Zéro algues à signaler.

South Beach, c’est l’équivalent de Cannes en Côte d’Azur, mais à un tout autre niveau. Et avec beaucoup plus d’ambiance. Là-bas, les gens peuvent faire la fête toute la nuit, mettre la sono à fond sur la plage ou dans la rue, ça ne dérangera personne, ou presque. À part peut-être les touristes et les moins habitués. Une différence de culture que j’apprécie, et assez dépaysante.

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Parfois, j’avais l’impression d’être dans un de ces clips américains qui passent à la télé. Après faut pas se voiler la face. Tout est très “superficiel”. L’apparence et le faire paraître priment sur le reste. D’où les “signes de richesse” évoqués plus haut.

Mais contrairement à New York où j’avais déjà quelques notions, mes connaissances de Miami se limitent aux clips et à la série des Experts de là bas. x)

Dans la soirée, on aura bu un cocktail sur Collins Avenue. Le quartier « chic » de la ville, et aussi le plus animé, surtout de nuit. Sans exagérer, il doit y avoir facile au moins une boite de nuit par rue.

Jour 8

Deuxième et dernière journée à Miami Beach. Qu’on aura pu explorer davantage avec notre voiture louée dans une agence Sixt ce jour-là. Par chance, la gérante parlait aussi le Français. Ce qui facilita grandement la tâche.

Journée terminée en beauté (à un coucher de Soleil près) au South Pointe Park, peuplé de Yoguistes et situé à la pointe sud de la ville. Lieu nous offrant une vue imprenable sur l’océan et le centre-ville. Ce « Miami Sunset » aura été l’une des plus belles choses que j’aurais vues durant ce voyage aux USA.

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Next stop, Orlando…

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