[Top] Mes 10 plus grosses attentes ciné de 2023

Parce qu’il n’y a pas que les jeux vidéo dans la vie, voici mon tout premier top 10 de mes attentes cinéma sur ce blog pour cette année 2023. Et « il va y avoir du lourd, du très très lourd » comme dirait l’autre.

#10. 65 – La Terre d’avant (5/04/2023)

Réalisé conjointement par Scott Beck et Bryan Woods qui ont quelques films d’horreur à leur actif, on retrouve un peu de cette atmosphère dans 65. Racontant l’histoire d’un astronaute incarné par Adam Driver, qui s’est échoué sur Terre mais 65 millions d’années avant notre ère. Une époque dominé par des créatures que l’on connaît tous, et au destin tragique ayant eu lieu exactement à cette période du Crétacé. Moi qui a toujours rêvé de voir ce que donnerait un film du style d’un Jurassic Park en tant que film d’horreur avec des dinos réellement effrayants, ça risque de me plaire.

#9. Indiana Jones et le cadran de la destinée (28/06/2023)

Indy est de retour pour l’ultime fois dans ce cinquième volet de l’aventurier le plus mythique de l’histoire du cinéma et de la pop-culture. Son influence étant telle que des sagas de jeux vidéos comme Tomb Raider ou Uncharted n’auraient jamais existé sans lui. À vrai dire, je ne sais pas trop à quoi m’attendre après un quatrième film qui fut très moyen, mais j’ai envie d’espérer un final en beauté et qui sera par la même occasion l’un des tout derniers rôles de l’octogénaire Harrison Ford. D’avance, chapeau l’artiste et merci de nous avoir fait autant vibrer durant toutes ces décennies.

#8. Killers of the Flower Moon (Mai 2023)

Un projet de Martin Scorsese avec Leonardo DiCaprio dans le casting, c’est systématiquement gage de qualité. Shutter Island et le Loup de Wall Street pour ne citer que ceux-là, l’ont bien prouvé. Il va sans dire que j’attends ce film même s’il n’a pas encore de trailer à l’heure actuelle. Racontant une histoire vraie datant des années 20, où le FBI tente d’élucider le mystère autour d’une tribu indienne qui a été assassinée pour une histoire de pétrole.

#7. John Wick – Chapitre 4 (22/03/2023)

Les trois opus déjà sortis m’ont permis de confirmer une chose. C’est que le scénario n’est pas le point fort de cette franchise. Même si Parabellum a tenté des choses en mettant une prime sur la tête de l’invincible John Wick qui est maintenant traqué de partout. Mais la force de ces films et la raison principale pour laquelle je vais les voir en salles, ce sont ses scènes d’action phénoménales d’une violence inouïe, et brillamment exécutés par un Keanu Reeves (et ses cascadeurs) qui ne fait pas du tout sa quasi soixantaine. Et en plus de ça dans ce quatrième volet à venir, Keanu fera équipe avec Laurence Fishburne. Dit autrement, on reverra Neo et Morpheus côte à côte. Autant dire que le fan de Matrix qui est en moi est joie.

#6. Les Gardiens de la galaxie Vol. 3 (03/05/2023)

C’est le Marvel que j’attendais le plus depuis l’ère post-Thanos après Endgame (dont j’ai déjà parlé ici). Davantage que n’importe quel projet d’une Phase 4 tout juste terminée et qui n’est clairement pas ma préférée. Même si pour moi quelques projets sortaient du lot comme les séries WandaVision et Loki. Ainsi que les films Shang-Chi et la Légende des Dix Anneaux et  Doctor Strange in the Multiverse of Madness. Mais bref.

J’ai une affection toute particulière pour le premier volet des Gardiens qui apporta un vent frais au sein d’un univers cinématographique alors âgé de six ans, et constitué de dix films à l’époque. Dont le premier Avengers sorti deux ans avant lui. Je m’étais attaché au groupe constituant Quill, Gamora, Drax, Groot, Rocket et tous ceux qui les auront rejoints en cours de route. Et ce même si le second film m’aura moins marqué malgré un Yondu très émouvant. En tout cas, je m’attends à avoir le cœur en miettes avec ce troisième et ultime opus qui s’annonce dramatique d’après James Gunn. Même si j’ai déjà ma petite idée de qui pourrait passer l’arme à gauche mais peut-être que je serais surpris.

#5. Oppenheimer (19/07/2023)

J’aime presque tous les films de Christopher Nolan. Lui qui m’avait retourné la tête dans Inception. M’a fait voyager à travers les étoiles dans Interstellar. Et retourné le temps contre nous dans Tenet (dont j’ai aussi parlé ici) qui est son dernier film en date.

Mais là, il n’est plus question de jouer avec le temps. Nolan revient avec une proposition plus classique, mais qui sera sans doute très efficace avec ni plus ni moins qu’un biopic sur J. Robert Oppenheimer. L’homme qui a conçu la première bombe atomique durant la Seconde Guerre Mondiale. Incarné par l’excellent Cilian Murphy qui a déjà fait ses preuves avec le réalisateur. À croire que le sujet de la guerre passionne énormément Nolan puisqu’il a déjà fait l’exercice avec Dunkerque en 2017.

#4. Mission: Impossible – Dead Reckoning – Partie 1 (12/07/2023)

Pour beaucoup, la référence en matière de films d’action et espionnage est James Bond. Me concernant, c’est la saga Mission Impossible envers qui j’ai une attache particulière depuis le premier opus de 1996 par Brian de Palma. Des films très corrects pour la grande majorité. En particulier les derniers en date que sont Rogue Nation et Falllout réalisés par Christopher McQuarrie. Ce que j’attends du prochain volet ? De l’action, une histoire qui tient en haleine, et des cascades que seul l’inarrêtable Tom Cruise est en mesure de réaliser.

#3. Dune – Deuxième partie (01/11/2023)

Denis Villeneuve est un réalisateur dont j’apprécie beaucoup l’approche de la Science-Fiction. Avec Blade Runner 2049, Premier Contact, et le Dune de 2021 qui fut ma porte d’entrée à cet univers ayant déjà eu droit à plusieurs films, bouquins, et jeux vidéos avant lui. Un univers que j’avais trouvé bien introduit dans ce premier film malgré ses longueurs. Avec un bon casting, et une esthétique au top. J’attends de ce second opus qu’il rentre enfin dans le dur et ne se contente plus que de simplement exposer son contexte et placer ses pions. Même si sans trailer à ce jour, il est difficile de se faire une idée de la direction prise.

#2. Spider-Man: Across the Spider-Verse (31/05/2023)

Spider-Man New Generation (Into the Spider-Verse en VO) est sans conteste un des meilleurs films d’animation que j’ai vu ces dix dernières années. Ce fut une claque autant visuelle qu’émotionnelle qui a même été récompensé par les Oscars et d’autres dans sa catégorie. Quant à sa suite annoncée en 2019, c’est le film que j’attends depuis le plus longtemps de tout le classement. Une attente qui devait déjà durer trois ans car prévu initialement pour Avril 2022, mais finalement décalé à Mai 2023. En espérant que nôtre patience sera récompensé par un film au moins à la hauteur de son illustre aîné si ce n’est plus. Hâte de revoir Miles, Gwen, et les innombrables itérations de l’araignée.

#1. Super Mario Bros, le film (5/04/2023)

Sans surprise, ma plus grosse attente ciné de l’année est le film d’animation Super Mario Bros. Réalisé par le studio Illumination à qui l’on doit les Minions. C’était durant le Nintendo Direct de Septembre 2021Shigeru Miyamoto avait annoncé une première date de sortie en 2022, et un casting américain qui m’a surpris sur certains aspects. Autant Jack Black en tant que Bowser et Anya Taylor-Joy en Peach je n’ai rien à redire. Autant Chris Pratt en Mario je me questionne encore aujourd’hui sur ce choix. Surtout après avoir vu les trailers où même en outre-Atlantique on nous envie le casting français (qui je l’espère sera définitif). D’ailleurs en plus du doublage, ces trailers m’ont beaucoup rassuré sur l’aspect visuel, et les nombreuses références aux jeux Mario qui comblent déjà le fan que je suis. En espérant avoir quand même quelques surprises en salles et que les trailers n’ont pas montrés le plus important.

Voila en ce qui concerne mes attentes cinéma. N’hésitez pas à me dire les vôtres.

[Cinéma] Critique – Jurassic World Le Monde d’après

Le 8 Juin 2022 il y a pile un mois sortait le 3ème volet de la trilogie Jurassic World. Voici mon avis avec spoilers sur ce que je considère d’emblée comme étant le film de trop.

Critique

7 ans auparavant, je publiais ma toute première critique ciné du blog sur le premier Jurassic World réalisé par Colin Trevorrow. Loin de moi l’envie de réécrire l’article ici mais pour résumer, je l’avais plutôt apprécié même s’il n’avait pas l’aura et la qualité des films de la première trilogie Jurassic Park.

Puis vint le second volet en 2018 par J.A Bayona qui m’aura énormément déçu malgré ses quelques bonnes idées de réalisation. Notamment durant la première partie du film centrée sur la destruction naturelle de l’ile d’Isla Nublar. L’ultime bastion de ces dinosaures de l’ère moderne qui ont failli être tous exterminés comme ce fut le cas pour leurs ancêtres il y a 66 millions d’années. L’ile où toute l’histoire de la saga avait commencé 30 ans plus tôt, et là où tout aurait dû se terminer si vous voulez mon avis. Cela nous aurait évité une seconde partie risible avec un scénario et des personnages totalement à la ramasse. Et un lâcher des dinosaures dans la civilisation ayant conduit à un 3ème opus repris par Trevorrow qui pour moi est le pire de toute cette saga. 

Le fait que les dinos allaient envahir le monde un jour où l’autre me semblait inévitable. C’est dans la suite logique des films et j’étais quand même assez curieux de voir comment cela allait être amené. Hélas, le résultat demeure franchement incohérent et ce dès les premières secondes. Je ne peux pas croire que la présence de ces sauriens affecte si peu l’écosystème et provoque aussi peu de chaos. On parle quand même de créatures hors normes qui étaient au sommet de la chaîne alimentaire des millions d’années avant nous. C’est comme si le film esquivait volontairement cette problématique en nous faisant croire que vivre avec des dinos c’est « normal ». Alors que pas du tout. Dans un monde cohérent où la suspension d’incrédulité n’était pas en option, l’humain ne serait plus l’espèce dominante, mais le dominé.

Je pense notamment à cette scène incompréhensible entre le Mosasaure et la Baleine Bleue. Comme si le plus gros prédateur marin que la Terre ait connu allait simplement se contenter de tourner autour du plus gros mammifère marin sans avoir envie de le croquer. Ça n’a pas de sens.

Certes, on n’attend pas d’un film Jurassic qu’il soit strictement raccord avec la réalité archéologique. Personnellement, le fait d’avoir des Raptors de cette taille ne me dérange pas tant que ça même en sachant qu’en réalité, qu’ils n’étaient pas plus gros que leurs lointains descendants de la basse-cour. Mais là, le niveau est abyssal. C’était trop demander que d’avoir un film qui soit cohérent dans sa diégèse sans prendre les spectateurs pour des idiots ?

On en est à un point où n’importe quel documentaire demeure bien plus crédible que l’entièreté de cet opus. D’ailleurs le dernier en date étant Planète Préhistorique sorti en 5 épisodes via Apple TV+. Et bien que je ne l’aie pas encore vu à date, son simple trailer surpasse en termes d’effets visuels le dernier film de Trevorrow aux 165 millions de dollars de budget. Un documentaire narré par David Attenborough, frère du regretté Richard Attenborough qu’on avait connu en tant que John Hammond dans les JP. Et histoire de donner encore plus envie, un certain Hans Zimmer a participé à la bande-son. Fin de la parenthèse.

En fait, j’ai été légèrement mauvaise langue. La libération de ces créatures a bel et bien affecté la biodiversité. Sauf que ce n’est même pas de la faute des dinos, mais de celle d’un essaim des criquets géants préhistoriques qui anéantissent toutes les récoltes mondiales. Toutes, sauf celle de la société Biosyn Genetics qui sous l’égide du Dr. Henry Wu (encore lui), a modifié génétiquement ces insectes afin qu’ils ne puissent pas s’attaquer aux cultures de Biosyn et que l’entreprise puisse dominer l’agriculture mondiale.

On passera sur ce « scénario » qui essaie de se donner du sens. Mais là on est en train de nous dire que la véritable menace de cet opus ce ne sont même plus des dinosaures, mais des criquets ? Trois décennies de longs-métrages centrés sur les créatures les plus terrifiantes ayant foulé le sol terrestre et les fonds marins, pour qu’ils se fassent voler la vedette par des insectes ? Merde quoi.

Bon, le terme « voler la vedette » est peut-être fort de propos. Car il y a tout de même quelques dinos qui sortent du lot comme Blue. Le Raptor femelle dressée par Owen dès le premier JW, et ayant engendrée une progéniture qui sera l’un des principaux enjeux du film. Qui aurait cru que cette dernière trilogie arriverait à rendre des Raptors attachants ? 

Autre dino qui s’est démarqué, le Therizinosaure qui fait sa première apparition dans un Jurassic. Un herbivore armé jusqu’au bec et qui s’est illustré durant une des meilleures séquences du film selon moi. Celle où il traque Claire au sein d’un marais. Un des rares moments où on ressent de la tension, du suspense, et surtout du danger. Tout ce qu’on attend d’un Jurassic en somme. Et cela montre aussi que même sans être carnivores, ces créatures peuvent être toutes aussi dangereuses que leur congénères adeptes de viande fraîche quand il s’agit de défendre leur territoire ou leur semblables.

Et le dernier gros bestiau parmi les nouveaux venus, n’est ni plus ni moins que le fameux Gigantosaure. Le plus gros carnivore terrestre ayant jamais existé, et le rival de ce bon vieux T-rex (qui a pas mal perdu de sa superbe) dans cet opus.

Une rivalité qui dans ce film, aurait débuté durant l’âge d’or des dinos. Illustrée avec la sympathique séquence d’introduction (qui fait très « documentaire » aussi), disponible sur YouTube mais absente du film pour une raison que j’ignore. Même si en réalité, ces deux-là n’ont jamais coexisté car plusieurs millions d’années séparent leur existence. Mais bon on n’est plus à une incohérence scientifique près.

Puis malgré sa taille, ça reste quand même l’un des mastodontes les moins menaçants de toute la saga. Il ne tue quasiment personne, humains comme dinosaures. À aucun moment il ne représente un danger mortel pour qui que ce soit. Pas même durant une séquence vers la fin où il aurait pu croquer 1000 fois les membres du groupe. Et sans parler de sa défaite en match retour face à l’alliance improbable entre le T-rex et le Therizinosaure. Gigantesque déception.

À titre de comparaison, les carnassiers artificiels qu’étaient l’Indominus et l’Indoraptor des deux précédents volets, étaient bien plus menaçants et imprévisibles.

Pour finir, parlons casting et de l’argument de vente principal de ce dernier volet. À savoir le retour de certains visages familiers. Quand le premier volet de JW sortait en salles, je me disais que ça serait chouette de retrouver le trio de tête de la première trilogie JP. Constitué des personnages de Alan Grant, Ian Malcolm et Ellie Sattler. Souhait qui a été exaucé d’abord pour Ian qui aura fait une très courte apparition dans le second opus. Et par la suite pour les deux restants dans ce troisième film.

Sur le moment, j’étais très content de les revoir tous ensemble 30 ans après. Eux qui avaient marqué mon enfance au sein d’un film culte aussi vieux que moi. Mais ma joie fut de courte durée quand j’ai vu à quoi ils étaient réduits ici. Des individus coincés dans les années 90, n’ayant pas évolués d’un iota, et dont leur présence ne sert juste que de prétexte à faire avancer l’histoire et placer quelques « money shots« . Ironiquement, je pense que ce sont eux les véritables « dinosaures » dont Trevorrow a déterré les fossiles afin de les faire revivre dans une époque qui ne leur correspond plus.

D’ailleurs à un certain moment du film, Ian dit qu’il n’est « pas fan de Jurassic World« . Dans le contexte du film il parlait du parc à Isla Nublar. Mais moi j’y vois un critique cachée envers cette dernière trilogie.

Pour le reste du casting, disons que ça confirme que les JW n’auront jamais brillé par leurs personnages. À commencer par Dogson, le principal antagoniste qu’est le sosie de Tim Cook patron de Biocyn. Aucune profondeur et n’inspirant aucune crainte. Et tellement malin qu’il n’est même pas fichu de sécuriser son propre bâtiment. En laissant par exemple les Dilophosaures du premier JP le boulotter au sein des grottes de l’hyperloop.Le personnage de Maisie qu’on avait découvert dans le second JW (celle qui a lâché la meute pour rappel), est insupportable une bonne partie du film. En pleine crise d’adolescence, et aussi en pleine crise existentielle au vu des révélations sur sa nature de « clone sans vraiment l’être ». Une révélation que j’avais trouvée pas très bien amené en plus d’être légèrement tiré par les cheveux.

Quant aux autres, je n’ai pas grand-chose à dire. Owen et Claire sont fidèles à eux-mêmes. Le retour de Barry qui avait un rôle assez important aux côtés d’Owen dans le premier JW, mais qui est limite un figurant dans cet opus. Des retrouvailles entre-autres qui ont eu lieu durant une séquence interminable à Malte. Pour moi les personnages les plus intéressants sans être flamboyants, ce sont les nouveaux venus Kayla et Ramsay.

Conclusion

Je ne comprends pas comment on a pu en arriver à un tel résultat. Alors que Trevorrow avait toutes les cartes en main pour faire un film d’exception. Le 2ème plus gros budget de la saga. Des dinosaures qui ont enfin envahi le monde et plus imposants que jamais. Et un casting réunissant les anciens acteurs aux côtés des nouveaux. Par je ne sais quel « miracle », tous ces éléments ont été soit sous-exploités, soit bâclés.

Le plus dramatique restera quand même ce fan-service sans saveur. De base je n’ai rien contre tant que ça dessert le récit. Mais si c’était pour faire ça autant ne rien faire. À trop tirer sur la corde nostalgique, fatalement ça finit par rompre. Et c’est exactement ce qu’il s’est passé ici.

Pour moi, ce Jurassic World Dominion n’est pas seulement mauvais. Il est surtout irrespectueux envers toute cette saga. C’est à se demander si Trevorrow a réellement compris le message des anciens films. Visiblement non parce que pour sortir en 2022 un film Jurassic avec une mise en scène aussi plate, un rythme aussi mal géré, sans aucune tension ni originalité (mis à part la scène du Therizinosaure), et sans la moindre goutte de sang, c’est franchement osé.

Je trouve ça triste car j’aurais vraiment voulu apprécier ce dernier opus d’une saga qui émerveillait l’enfant que j’étais. Mais tous les problèmes cités m’en ont empêché. Très sincèrement s’il y a un JW4 de prévu avec les mêmes acteurs et le même réalisateur, ça sera sans moi. Je pense qu’il est grand temps de laisser les dinos reposer en paix (sauf en documentaire).