[Unboxing] Zelda Link’s Awakening – Édition Limitée

Remake d’un jeu aussi vieux que moi, et sorti pile le jour de mon anniversaire le 20 Septembre dernier, voici mon Unboxing en photos de cette édition collector de The Legend of Zelda: A Link’s Awakening sur Switch.

Face avant

De dimensions 19,5 x 24 x 4,3 cm, la boite est suffisamment grande pour contenir 2 boîtiers de jeux Switch collés l’un à l’autre sur la longueur. Une taille non négligeable mais qui reste raisonnable en comparaison de celle du collector d’Astral Chain sur la même console. Qui à titre de comparaison, fait près de 10 cm de plus sur la longueur et 7 cm supplémentaires en largeur.

Sur la face avant on y retrouve un artwork de l’Île de Cocolint du jeu, ainsi qu’une languette se superposant dessus, et où sont apposés le logo de Nintendo et ceux de la famille PEGI / USK toujours plus envahissants.

Fort heureusement, on peut l’enlever et ainsi laisser « respirer » cette face avant.

Face arrière

 

Voici à quoi ressemble la boite de dos. D’abord avec la languette apposé et illustrée avec des images du jeu et son contenu.

Et la voici sans la languette cette fois. Révélant le Hibou qui nous accompagnera durant le jeu.

Contenu de la boite

Comme je le disais plus haut, la boite est assez large pour contenir 2 boîtiers au format de ceux de la Switch côte à côte. Les boîtiers en question étant celle du jeu et le steelbook.

La boite complètement vidée laisse apparaître le Poisson Rêve (Wind Fish en VO). Qui à titre personnel, tient davantage de la baleine que d’un poisson mais passons.

Jeu & Steelbook

Pas de surprises. La boite du jeu est quasiment identique à celle vendue séparément dans le commerce. Les différences étant la présence des logos PEGI sur le recto, et la langue d’écriture en Anglais sur le verso.

Et que dire sur le plus bel objet du collector. Peut-être même l’un des plus beaux steelbook qu’il m’ait été donné de voir jusqu’ici. Reprenant l’apparence de la toute première GameBoy avec l’écran du jeu en façade, et la cartouche de jeu à l’arrière. Mais c’est pas fini.

 

Car l’intérieur n’est pas en reste non plus. Avec des images de la version GameBoy en arrière plan qui rappellent de vieux souvenirs. Comme toujours avec ce genre de boîtiers, je me suis moi-même permis d’insérer le jeu dedans.

Artbook

 

Et pour finir, l’artbook de 120 pages dont j’ai pris quelques photos de l’intérieur.

Conclusion

Un bel objet avec de jolies illustrations aussi bien à l’extérieur que dedans, mais qui ne vaut clairement pas son prix. Pratiquement 100€ juste pour un jeu, un steelbook et un artbook ? Même s’il s’agit de la licence Zelda ça reste beaucoup trop. Pour que ce soit un minimum honnête il aurait fallu intégrer un porte-clé et une OST en plus. C’est exactement ce qui a été fait pour le collector de Metroid Samus Returns sur 3DS (dont j’ai déjà fait l’unboxing). Bien plus riche en contenu alors qu’il était quasiment au même tarif.

Et pour couronner le tout, ce collector fut lui aussi très difficile à acquérir. Pour être honnête je n’ai même pas essayé de le commander par moi-même. Si je l’ai en ma possession, c’est grâce à une âme charitable qui l’a sécurisé pour moi. Un grand merci à cette personne si elle lit ces lignes.

À posséder si on est fan uniquement.

[Aperçu] E3 2019 : Zelda Link’s Awakening + Photos Stand E3

Remake de l’opus sorti il y a 26 ans sur Game Boy, voici mes impressions E3 2019 de cette nouvelle version de The Legend of Zelda: A Link’s Awakening sur Switch, prévu pour (mon anniversaire) le 20 Septembre 2019. 🎂

Et je vais embrayer d’emblée avec l’aspect qui fait le plus parler de lui, les graphismes. Quand le jeu fut dévoilé pour la toute première fois au Nintendo Direct du mois de Février, je n’avais pas aimé le parti pris graphique de cette version. Minimaliste, et faisant très « pâte à modeler » ou « jouet pour enfant ». Mais après y avoir joué à l’E3, j’ai un peu revu mon jugement. Ça passe mieux que je ne l’aurais imaginé et je trouve qu’on s’y fait assez vite.

Même si je n’aurais pas été contre un style plus « manga » comme dans la vidéo d’intro du jeu, ou même en cell-shading  à la Breath of the Wild. Histoire de changer de la patte cartoonesque de Wind Waker sur Game Cube, et déjà réutilisée pour les épisodes sortis sur DS que sont Phantom Hourglass et Spirit Tracks. Et cela se ressent même dans la bande-son. Qui en plus d’être très fidèle à l’excellente partition du jeu d’origine, colle parfaitement à l’ambiance « enfantine » du titre.

Passant outre cet aspect, force est de constater qu’un certain soin a été apporté aux décors et environnements de l’île de Cocolint. En particulier les intérieurs de maisons qui fourmillent de détails (meubles, tableaux, plantes, etc). Avec quelques effets de lumières, de textures, et animations plaisantes à voir.

Le tout a été agencé exactement comme à l’époque, et on se surprend à redécouvrir sous un nouveau jour (et surtout en haute définition) des lieux familiers comme le village des Mouettes, la plage Coco, et la Forêt Enchantée pour ne citer que ça. Il en va de même pour les personnages et dialogues qui ont été laissés à l’identique.  La nostalgie opère en tout cas.

J’ai même tenté de voler les objets du  fameux marchand comme dans l’opus originel, mais sans succès. Peut-être que cette démo ne le permettait pas et que ça sera possible dans le jeu final.

Et pour les non-connaisseurs se demandant pourquoi s’abaisser à un tel acte de vandalisme, c’est d’abord parce que c’est drôle (dans le jeu), et surtout car si on avait le culot de revenir au magasin après ça, le vendeur nous tuait (littéralement) sur place et on reprenait la partie non plus en tant que « Link », mais sous la dénomination de « Voyou ». Avouez que ça donne envie…

Il n’était pas possible non plus de tester la principale nouveauté de cet opus qu’est l’outil de création de donjons. Et même si je n’ai pas l’âme suffisamment créatrice pour ce genre de fonctionnalité, j’ai hâte de voir jusqu’où l’originalité des joueurs ira.

En termes de prise en main, j’ai ressenti un feeling assez similaire à l’opus A Link Between Worlds sur 3DS. Ce qui n’est guère étonnant quand on sait que cette version était initialement prévue pour la dite console. Link se manie de manière naturelle et dans toutes les directions cette fois-ci. L’ergonomie a été revue puisque contrairement à la version d’origine limitée par les boutons « A » et « B », ici on peut d’emblée assigner 2 objets à la fois, comme l’épée et le bouclier par exemple. Pareil pour la carte du jeu qui permet de placer des points de repères et de référencer les dialogues du jeu. Chose qui sera bien pratique pour certaines quêtes annexes, notamment celle du « troc » pour ceux qui savent.

Voilà pour ma Preview de cette session d’une quinzaine de minutes. Je vous laisse maintenant avec mes photos que j’ai prises de la zone de jeu à l’E3. Où de jolis dioramas Zelda servaient de décors et avec quelques Cosplays de la série (et d’ailleurs) qui trainaient dans les parages.