Pas plus tard qu’hier sortait la Definitive Edition de Xenoblade Chronicles sur Switch. Remake du jeu Wii sorti 10 ans plus tôt au Japon, et dont je vais vous présenter la version collector Européenne à travers ce nouvel article Unboxing.
Face avant
De dimensions 32 x 6 x 32 cm, c’est une grosse boite carrée. Peut-être même la plus grosse pour un collector Switch juste devant celle d’Astral Chain qui mesure 5,5 cm de moins sur la largeur, et seulement 1,8 cm de plus sur la longueur.
On y distingue la Monado rouge vif avec le titre du jeu, et les inévitables logos PEGI / USK qui pour une fois ne prennent pas trop de place sur la languette.
Face arrière
Cette même languette qui à l’arrière nous dévoile tout le contenu de ce collector.
La languette une fois retirée, met en évidence le kanji de l’art « Enchantement » de la Monado. Qui dans le jeu permet aux compères de Shulk de faire des dégâts aux Mekons. Un symbole que l’on retrouvera quelques photos plus bas.
Jaquettes
Une fois ouverte, le premier étage de la boite laisse apparaitre la jaquette du jeu et le steekbook.
Je me suis amusé à mettre côte à côte les jaquettes Wii et Switch. Pas de changements majeurs mis à part que le logo PEGI a disparu de la couverture de cette dernière, collector oblige.
Couverture qui est même réversible si on en croit l’illustration (que l’on retrouvera plus bas) se dévoilant à l’ouverture de la jaquette. Illustrant le tout nouvel épilogue du jeu.
Steelbook
La boite métallique aux couleurs des titans Bionis et Mekonis lors de leur affrontement à mort qui sert d’ouverture au jeu. Une illustration d’époque, et épique.
À l’intérieur, deux artworks du Facia Némésis à gauche, et du Facia d’Or à droite. Deux personnages dont je ne peux pas en dire plus pour ne pas spoil, mais dont le parallèle avec les Titans du côté extérieur de du steelbook est pertinent.
Poster
On retrouve l’illustration d’intérieur de la jaquette sous la forme d’un gros poster recto mais au format 1:1. Qui une fois déplié, fait pas moins de 64,5 cm de côté. En parlant de poster, un autre est offert sous forme de bonus de précommande dans l’édition collector chez Fnac. Ne pouvant donc pas être vendue séparément donc.
Vinyle
Certainement l’objet le plus intéressant du collector, et qui justifie à lui seul la taille de la boite. Quand la plupart optent pour un CD (comme pour la version Américaine du collector), voire une clé usb pour regrouper des morceaux de leurs jeux, chez nous européens, le studio Monolith Soft n’a pas fait les choses à moitié en intégrant un Vinyle, rien que ça.
Et ils ont même pensé à ceux qui n’auraient pas de platine pour le faire tourner en glissant un code de téléchargement des morceaux figurant au verso.
Voici à quoi ressemble le disque vinyle que je trouve magnifique. Reprenant le design de la zone circulaire de la Monado. Comme si elle avait été séparé rien que pour former cet objet.
La face B avec « L’enchantement » que l’on retrouve ici. Peut-être que le fait de la jouer nous protégera des Mekons, qui sait…
Porte-clés
Le bonus de précommande offert par Micromania. Un porte-clés reprenant la forme de l’épée. Mais qui étrangement n’est pas percé là où elle devrait être. Peut-être pour ne pas fracturer le logo à l’arrière.
Artbook
Une fois de plus, je termine un unboxing de collector avec l’indissociable Artbook. Assez costaud ici (30 x 1,6 x 21 cm), et ne comptant pas moins de 256 pages d’illustrations, de croquis et plus encore.
Avec Mekonis en première de couverture, et Bionis en dernière de couverture. La prestance est présente sur ces artworks eux aussi d’époque.
Je ne mettrai pas plus de photos que ça. D’une pour garder la surprise parce que 256 pages c’est un peu beaucoup, et de deux car le contenu de cet artbook spoil énormément le jeu.
Et pour l’avoir comparé un peu avec celui du collector de la version Wii dont vous avez un aperçu ci-dessus, il est assez différent dans l’ensemble.
Conclusion
Un beau collector assez fourni comme vous avez pu le constater, et étonnamment bien meilleur en contenu que la version américaine. Qui elle, opte pour une boite plus petite, un simple CD au lieu du vinyle, et le poster en moins. Pour moi, il vaut sa centaine d’euros contrairement à celui de Link’s Awakening dont j’ai déjà fait l’unboxing et ayant moitié moins de contenu pour un tarif similaire. Allez la seule chose qui pourrait rendre cette édition parfaite sans trop bouger le prix, serait l’ajout d’une petite figurine ou statuette.
Et le fait d’avoir pris ce collector est aussi une façon pour moi de me consoler du fait que je n’avais pas pu chopper celui de la version Wii à l’époque. Avec sa manette pro rouge, et l’artbook qu’on devait chopper à part et qui me faisait déjà saliver.